S’appuyant sur des preuves, figures peintes ou gravées, sceaux, monnaies, textes, le livre développe une progression chronologique la plus complète possible. Il présente de nombreux exemples d’objets, avant le christianisme et dans les premiers siècles de notre ère, qui préfigurent cette croix.
Il fournit une documentation précise sur sa création qu’il faut dater du milieu du douzième siècle. Raymond Ginouillac s’engage sur ce point en tenant compte de travaux menés par des chercheurs au vingt-et-unième siècle, sans pour autant ignorer les nombreuses hypothèses présentées au cours du siècle précédent par divers historiens. Ces hypothèses sont souvent contradictoires entre elles et il discute de leur pertinence. À la suite d’Henri Rolland, Hervé Aliquot, Léon Jéquier, Jens Christian Moesgaard, Laurent Macé…, il rappelle que les premières créations se sont produites en Provence, avec le jeune Raimond V, comte de Toulouse marquis de Provence. Une cinquantaine de pages du livre sont consacrées à l’est du domaine d’oc : Provence, Pays niçois, sud du Dauphiné, vallées occitanes d’Italie. Rapidement, cette figure est apparue également dans le Toulousain. Selon les lieux et les dates, on la nomme croix de Toulouse, de Provence, de Venasque, de Forcalquier, du Languedoc, et, aujourd’hui, croix occitane.
L’ouvrage montre la présence de cet emblème, de ce symbole, en Occitanie, en Italie, dans la Péninsule ibérique et dans d’autres régions du monde.
Il contient deux-cent-cinquante illustrations en noir et blanc ou en couleur. La présentation de figures rappelant la croix occitane s’étend sur une période de cinq mille ans.
Il fournit une documentation précise sur sa création qu’il faut dater du milieu du douzième siècle. Raymond Ginouillac s’engage sur ce point en tenant compte de travaux menés par des chercheurs au vingt-et-unième siècle, sans pour autant ignorer les nombreuses hypothèses présentées au cours du siècle précédent par divers historiens. Ces hypothèses sont souvent contradictoires entre elles et il discute de leur pertinence. À la suite d’Henri Rolland, Hervé Aliquot, Léon Jéquier, Jens Christian Moesgaard, Laurent Macé…, il rappelle que les premières créations se sont produites en Provence, avec le jeune Raimond V, comte de Toulouse marquis de Provence. Une cinquantaine de pages du livre sont consacrées à l’est du domaine d’oc : Provence, Pays niçois, sud du Dauphiné, vallées occitanes d’Italie. Rapidement, cette figure est apparue également dans le Toulousain. Selon les lieux et les dates, on la nomme croix de Toulouse, de Provence, de Venasque, de Forcalquier, du Languedoc, et, aujourd’hui, croix occitane.
L’ouvrage montre la présence de cet emblème, de ce symbole, en Occitanie, en Italie, dans la Péninsule ibérique et dans d’autres régions du monde.
Il contient deux-cent-cinquante illustrations en noir et blanc ou en couleur. La présentation de figures rappelant la croix occitane s’étend sur une période de cinq mille ans.