DAVAL Feliç
Fèliç Daval, nascut en 1948 dins lo Carladés (Cantal) es un escrivan auvernhat.
C’est à Badailhac en Carladès, qui l’a vu naître en 1948, que Félix Daval a passé son enfance, toute baignée d’occitan, la langue de la famille. Après des études qui l’ont mené à la faculté de Clermont, il a été instituteur un peu partout dans le Cantal. En 1972, succédant au majoral Jean Fay, il devient le professeur d’occitan des lycées d’Aurillac, à l’époque le seul professeur de langue régionale de France à temps complet. Soucieux de la transmission de la langue d’oc, il a participé activement à la création de l’école associative, laïque et bilingue, Calandreta del Vernhat d’Aurillac.
Depuis 1992, il s’attache à renouer les liens culturels et économiques que le Carladès et le Cantal entretenaient jadis avec la Catalogne. La commission catalane chargée de la commémoration du millénaire du Pape Gerbert l’a convié à travailler avec elle de 1998 à 2000.
Félix Daval écrit en occitan depuis l’âge de 22 ans. Son premier roman, Les Fraisses èran tombats, (Les Frênes étaient tombés) a été un succès, vite épuisé. Son recueil de nouvelles contemporaines, Les Òmes de l’ecir (Les Hommes de l’écir, 1987) est venu confirmer l’acuité de son regard sur la vie cantalienne d’aujourd’hui. Le regard d’un homme questionnant son espace, le Cantal, miroir où se reflètent des questions universelles : l’identité, le racisme, la condition féminine, les bouleversements du monde rural... Quelques-uns de ses textes figurent dans des anthologies de littérature ocitane.
A la retraite depuis 2009, Félix Daval se consacre désormais à la création. Il publie son second roman, Las Vaissas avián folhat (Les Noisetiers avaient reverdi), suite des Fraisses. Il écrit aussi des poèmes, des chansons, et collabore à de nombreuses revues occitanes, en Auvergne et ailleurs.
C’est à Badailhac en Carladès, qui l’a vu naître en 1948, que Félix Daval a passé son enfance, toute baignée d’occitan, la langue de la famille. Après des études qui l’ont mené à la faculté de Clermont, il a été instituteur un peu partout dans le Cantal. En 1972, succédant au majoral Jean Fay, il devient le professeur d’occitan des lycées d’Aurillac, à l’époque le seul professeur de langue régionale de France à temps complet. Soucieux de la transmission de la langue d’oc, il a participé activement à la création de l’école associative, laïque et bilingue, Calandreta del Vernhat d’Aurillac.
Depuis 1992, il s’attache à renouer les liens culturels et économiques que le Carladès et le Cantal entretenaient jadis avec la Catalogne. La commission catalane chargée de la commémoration du millénaire du Pape Gerbert l’a convié à travailler avec elle de 1998 à 2000.
Félix Daval écrit en occitan depuis l’âge de 22 ans. Son premier roman, Les Fraisses èran tombats, (Les Frênes étaient tombés) a été un succès, vite épuisé. Son recueil de nouvelles contemporaines, Les Òmes de l’ecir (Les Hommes de l’écir, 1987) est venu confirmer l’acuité de son regard sur la vie cantalienne d’aujourd’hui. Le regard d’un homme questionnant son espace, le Cantal, miroir où se reflètent des questions universelles : l’identité, le racisme, la condition féminine, les bouleversements du monde rural... Quelques-uns de ses textes figurent dans des anthologies de littérature ocitane.
A la retraite depuis 2009, Félix Daval se consacre désormais à la création. Il publie son second roman, Las Vaissas avián folhat (Les Noisetiers avaient reverdi), suite des Fraisses. Il écrit aussi des poèmes, des chansons, et collabore à de nombreuses revues occitanes, en Auvergne et ailleurs.