Joan Lois ORAZIO
Arbres, arbrilhons e arbricèls salvatges dels causses de Perigòrd
Arbres, arbustes et arbrisseaux sauvages des Causses du Périgord
Livre Bilingue
Livre Bilingue
Les arbres ont une place à part dans le monde végétal. Indispensables à la vie sur terre, l’homme les a de tout temps utilisés et sans eux la société humaine ne serait pas ce qu’elle est. L’arbre est symbole de vie. Ceux qui gardent leurs feuilles en hiver incarnent l’immortalité, ceux qui les perdent symbolisent la régénération perpétuelle du vivant. D’autant plus que, comme tous les êtres vivants, l’arbre se reproduit, respire et mange en s’adaptant aux lieux où il se développe. Géant de la nature à la frondaison céleste sur les terres fertiles des vallées, petit être rabougri sur le causse aride ou touffe flexible sur les rives de ruisseaux, l’arbre prend des formes diverses qui nous séduisent, mais, surtout, comme tous les végétaux, il crée la vie à partir du minéral. Chacun a son histoire, son originalité, sa sensibilité ; lien entre la terre et le ciel, l’arbre continue de nous fasciner et d’irradier quelque chose qui nous touche, et qui souvent nous apaise.
Dans un ouvrage précédent (Orquideias salvatjas de Perigòrd), Jean-Louis Orazio avait déjà choisi la richesse de l’occitan pour nous mener sur les causses du Périgord et nous parler des orchidées sauvages ; il nous propose ici d’aller à la rencontre de leurs arbres, arbustes et arbrisseaux, en une promenade de toute beauté.
Dans un ouvrage précédent (Orquideias salvatjas de Perigòrd), Jean-Louis Orazio avait déjà choisi la richesse de l’occitan pour nous mener sur les causses du Périgord et nous parler des orchidées sauvages ; il nous propose ici d’aller à la rencontre de leurs arbres, arbustes et arbrisseaux, en une promenade de toute beauté.
Jean-Louis Orazio est né au Fleix en Périgord, mais a vécu son enfance dans le village de Villeneuve-de-Duras (Lot-et-Garonne). Ses parents étaient immigrés italiens et son père, pour mieux s’intégrer, parla occitan avant de parler français. Ainsi, tout petit, il entendit cette langue qu’il retrouvera plus tard avec la complicité de son épouse Brigitte Miremont. Désormais retraité de l’enseignement et lpus à même de communiquer sa passion de la botanique, il a choisi la richesse de l’occitan pour parler des fleurs.