Joan Lois ORAZIO
Fleurs sauvages du Périgord (tome 1) Flors salvatjas de Perigòrd (tòme 1)
Bilingue français occitan
Ouvrage publié avec l’aide du conseil régional d’Aquitaine Obratge publicat amb l’ajuda del conselh regional de Novèla Aquitània
Trop souvent, quand nous parcourrons les chemins, préoccupés par la
mesure du temps et le comptage des pas, nous passons tout près d’elles
sans même les voir. Pourtant elles sont là, étonnantes et mystérieuses !
Compagnes silencieuses, avec leurs fleurs, elles constituent un décor
incomparable. Cette série d’ouvrages vous invite à découvrir les fleurs
sauvages du Périgord.
Le tome 1 présente les 8 familles suivantes : Adoxacées, Halogaracées,
Aramantacées, Apiacées, Apocinacées, Arliacées, Aristoloquiacées et
Asclepiadacées. Des photos prises par l’auteur, des reproductions de
planches anciennes en couleur renseignent utilement le lecteur.
Cet ouvrage est bilingue occitan français, il présente aussi
l’étymologie grecque et latine des noms des fleurs, ainsi que leur nom
en anglais.
mesure du temps et le comptage des pas, nous passons tout près d’elles
sans même les voir. Pourtant elles sont là, étonnantes et mystérieuses !
Compagnes silencieuses, avec leurs fleurs, elles constituent un décor
incomparable. Cette série d’ouvrages vous invite à découvrir les fleurs
sauvages du Périgord.
Le tome 1 présente les 8 familles suivantes : Adoxacées, Halogaracées,
Aramantacées, Apiacées, Apocinacées, Arliacées, Aristoloquiacées et
Asclepiadacées. Des photos prises par l’auteur, des reproductions de
planches anciennes en couleur renseignent utilement le lecteur.
Cet ouvrage est bilingue occitan français, il présente aussi
l’étymologie grecque et latine des noms des fleurs, ainsi que leur nom
en anglais.
Jean-Louis Orazio est né au Fleix en Périgord, mais a vécu son enfance dans le village de Villeneuve-de-Duras (Lot-et-Garonne). Ses parents étaient immigrés italiens et son père, pour mieux s’intégrer, parla occitan avant de parler français. Ainsi, tout petit, il entendit cette langue qu’il retrouvera plus tard avec la complicité de son épouse Brigitte Miremont. Désormais retraité de l’enseignement et lpus à même de communiquer sa passion de la botanique, il a choisi la richesse de l’occitan pour parler des fleurs.